Toutes les régions viticoles sont concernées par l'augmentation des tarifs de transport, de +30 à +200 %. Le coût ramené à la bouteille s'élève entre 0,75 à 1,50 euros, soit 5 à 10 F. La Sernam en tête, mais aussi les transporteurs routiers abandonnent cette activité. Les raisons le plus souvent avancées pour justifier cette situation sont : - Litiges en clientèle (vols, casse…) - Difficultés de livraison (horaires, digicodes, absence…) - Passage aux 35 heures - Trafic avec pointes en fin d'année. La livraison province/Paris semble sourire à quelques entreprises qui maîtrisent bien leur organisation et la prestation du contact avec le destinataire final. Bien du souci en perspective pour les vignerons expéditeurs et un dossier pour les organisations professionnelles. |