- Cet accord admet le principe de reconnaissance mutuelle des pratiques œnologiques de chacune des parties. Cette disposition semble mettre en évidence un certain nombre de réflexions tendant à réexaminer la définition du vin, et passer sous silence la normalisation internationale mise en place par l'OIV (Organisation Internationale de la Vigne et du Vin). - Cet accord tend à faire admettre la notion de produits semi-génériques tels que Bourgogne - Champagne - Chablis - Porto avec une promesse d'évolution de leur statut. - Enfin les entreprises européennes ne seront pas soumises par les autorités américaines aux procédures de certification renforcées pour les vins importés produits à partir du 1er janvier 2005. En France, les services du Ministère de l'Agriculture semble satisfait de cet accord. Du côté des professionnels, CNAOC, CCVF... les réactions sont beaucoup plus nuancées. A suivre... 20 ans après. Source : La Revue des Œnologues |